Le samedi 27 juillet 2024, un incident technique est survenu sur la plus grande tyrolienne sur pylônes au monde, située à Chamrousse, dans l’Isère. Alors qu’une femme de 36 ans et sa fille de 10 ans dévalaient la tyrolienne en binôme, un problème lié au frein d’urgence a provoqué la collision de la mère avec une surface métallique. Cet accident a entraîné de légères blessures pour la femme, tandis que la jeune fille est restée indemne. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes précises de cet incident.
Un incident technique imprévu
La tyrolienne de Chamrousse, inaugurée un peu plus d’un an auparavant, le 17 juin 2023, est l’une des principales attractions touristiques de la région, offrant une expérience unique aux amateurs de sensations fortes. Cependant, ce jour-là, un dysfonctionnement du système de freinage d’urgence a provoqué un choc inattendu pour les deux passagères. La mère, âgée de 36 ans, a été prise en charge rapidement par les sapeurs-pompiers de l’Isère. Elle souffre de légères contusions, mais sa fille, bien que choquée, n’a pas été blessée.
Réactions et assurances de sécurité
Christopher Hardy, directeur de l’office du tourisme de Chamrousse, s’est exprimé à propos de l’accident : « La maman est légèrement blessée et la jeune fille un peu choquée. Notre personnel est également un peu secoué. » M. Hardy a tenu à rassurer le public en affirmant que toutes les mesures de sécurité seraient renforcées pour éviter qu’un tel incident ne se reproduise. Il a précisé que le préfet de l’Isère a autorisé la réouverture de la tyrolienne dès le lundi 29 juillet 2024, soulignant que l’attraction reste parfaitement sûre pour les visiteurs.
Une enquête en cours
En parallèle, la gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de cet incident technique. Les conclusions permettront d’évaluer si des ajustements ou des améliorations doivent être apportés à la gestion et à l’entretien de l’installation.
La tyrolienne de Chamrousse, qui attire des milliers de visiteurs, reste une attraction phare de la station iséroise, située à moins de 30 minutes de Grenoble. Cet incident, bien que marquant, semble être isolé, et les autorités locales se veulent rassurantes quant à la sécurité de l’équipement.